Merci ma Tata de ces belles photos de mon enfance je trouve Maman très belle a ma naissance, elle a 25 ans. J'écris du train sur le i phone j'espere pouvoir envoyer. Jose m'attend a bordeaux. Je reprends cette après midi
Pour moi l’enfer, ce sont les mamans quand elles sont compliquées et abiment par des mots la santé morale de leur fille ou de leur fils et j’en connais dans les personnes qui me sont proches. Un vœu, ce serait une plus grande égalité d’argent pour que la vie matérielle du quotidien permette à chacun de manger normalement et d’avoir un appartement. L'ai je déjà dit? Mes parentes étaient à ma naissance locataire d'une sage femme qui était au 1e étage et avaient pour voisins les Mantin, comme eux au 2e étage. La maison était en face de l'école d'Aulnat. Nous avons habité là jusqu'à mes 4 ans, Alain est né dans les mêmes conditions. Donc chose qui revient à la mode, Maman a accouché à la maison. Moi je ne le conseillerais pas. Mon accouchement s'était bien passé, Marion allait bien mais comme elle était de petit poids, on l'a transporté dans un hopital spécialisé. Il vaut mieux être près des installations en cas de pépin. Du côté de Maman, je suis la première des cousins cousines comme vous le voyez sur les photos suivantes. 3e photo vous les connaissez tous, Eliane est derrière moi, Isabelle devant, Philippe derrière, François devant, mes cousins cousines du côté de Maman. Ils habitent encore à la vieille maison où est prise la photo. C’est la maison des Noëls de mon enfance. J’ai des souvenirs très lointains où les « ouvriers » de mon oncle René maçon prenaient le repas sur la terrasse ou est ce une illusion ? Très petite aussi, j’ai vue la mère de Alexandrine couchée dans son lit à l’étage déjà malade ? dans la partie de la maison habitée par les Thiers. Elle est de 1962. C’est en 1964 que nous sommes partis à Orange. Maman était enceinte de Thierry.
La 4e photo est prise au « Camp Nord » qui touche à l’aéroport d’Aulnat. Nous habitions une petite maison blanche avec les Daubignat qui avaient une immense jeune fille belle de 14 ans que je badais et à droite c’est je crois un hangar où on pouvait garer des hélicoptères. Nous avons vécu au camp nord de mes 4 ans à mes 10 ans. Nous habitions encore là au moment de la naissance de Christian. C’était un terrain de jeu immense avec une dizaine de maisons préfabriquées comme la notre et des espaces plantés en fleurs. C’était très mal isolé. Un peu plus loin encore, mes parents faisaient un immense jardin, ils avaient des pigeons, peut être des poules et des lapins. Nous voyons Alain, Eliane et Philippe. Nos parents étaient très proches de Carmen et René et les enfants entrent de suite dans ces proximités. Cette photo est de 1958. En 1959 mon père est parti 6 mois en Algérie comme gendarme de l’Air à Maison Blanche près de Alger. C’est avant ou après que j’ai eu l’encéphalite dont Carmen parlait la 1e fois. Remarquez nos vestes à Alain et moi, du fait maison, la jupe d’Eliane est tricotée aussi. Sur la 5e photo, on voit bien le jardin de la vieille maison. La dernière photo est prise à la Charmaisonne, je ne repère pas l’angle. C’est le lieu où Popo a vécu avec Philippe et Chantal ses parents, et son frère Pierre a aussi fait construire sur ce même immense terrain. On est un peu plus tard là en années.
Vertaizon, c'est aussi le lieu où la famille est réunie nombreuse et bavarde. J'aime écouter parler, rire. Quelquefois, je me secoue, il faut que je parle moi aussi au lieu d'écouter. A la Charmaisonne de Vertaizon dans mon enfance, il y avait une vigne dans toute la partie haute du terrain et à droite quand on arrive, là où René a planté des fruitiers. On emmenait la vendange à la Cave coopérative de Chateaugay près de Clermont Ferrand qui doit toujours produire un vin qui se commercialise. René entretenait la vigne en plus de son travail de maçon, ma grand-mère faisait les jardins, Carmen cueillait et mettait en conserves. Je crois que c’est Carmen qui faisait le jardin près de cimetière. Elle a toujours beaucoup aimé les fleurs. Chaque jardin était un peu distant de la maison, un était vers Heyrand, vers l’étang, du côté de chez mon grand oncle Marius. On voit sa maison de la vieille maison qui culmine. Chaque lieu d'enfance a sa respiration. A Alleret dans le Cantal, petit village où Alain a passé plus de vacances que moi l'été, mes oncles célibataires, Antoine qui avait du prestige parce qu'il était maire et qu’il résolvait les problèmes de l’eau, Alphonse qui en principe était toujours soult et vivait presque dans un coin chambre attenant à sa petite menuiserie avec 2 ou 3 machines et plein de tas de sciures de bois qui avaient une odeur. Est ce lui qui a donné à Roger le goût de la menuiserie. En tout cas quand ma cousine Odile et Roger sont venus s'installer dans la maison natale de Papa, Odile pour la petite ferme, Roger pour monter sa menuiserie parce qu'il ne pouvait pas être gendarme, mes 2 oncles ont connu avec eux une belle et longue vieillesse. A Alleret dès que l’on monte dans les chemins où on emmène les vaches au pré avec le chien et un bâton de noisetier, on culmine pleins de paysages. Fontaride, c’est à 20 km mais dans la Haute Loire. Entre, petites routes en zigzag qui montent et descendent très bas. Sur la route, paysages d’éoliennes depuis quelques années vers Ally au point qu’il y avait pleins de voitures qui venaient les voir. A Fontaride, c’est la maison de Julienne, sœur de mon père et maman de Odile et Jean Claude. Alors là c’est tout petit, leur ferme qui est avait une grande superficie, une 2e ferme mais qui a brûlé quand autour de mes 11 ans et un château avec le Comte et sa famille. Toutes les petites filles sont fascinées à cause des contes de princesse. Axelle est déjà bien prise. La ferme de Fontaride fait face à un paysage magnifique. On peut dévaler le pré très en pente, sauf qu’il faut faire attention aux bouses de vaches. Après c’est très fatiguant pour remonter. Au fond très en bas coule l’Allier encore cours d’eau. Et devant la maison, il y avait des troncs de bois en pile. J’aimais m’installer en haut et lire ou chanter pour moi toute seule. Odile a 1 an de plus que moi. On dormait dans le même grand lit. On allait garder les vaches toute la journée. Là il y avait au moins 2 chiens. Mais ni à Alleret ni à Fontaride ils n’avaient de bons chiens. Un bon chien, tu le dresses et il rassemble le troupeau. Nous il fallait courir autour du troupeau pour faire avancer et à Fontaride, c’est aussi tout en pente. Dans un pré, il y avait des genêts. C’est tout fleuri jaune en juin. Le genêt pousse sur la terre aride. En Auvergne, dans ma famille, on ne retournait beaucoup les prés sauf pour planter du trêfle que l’on donnait séché aux vaches.
quelle mémoire Nicole; tu avais 3ans à mon mariage( je me souviens que l'on voulait te faire porter mon voile et tu as pleuré en te cachant)mais tu as raison, on faisait manger les ouvriers sur la terrasse l'été; je l'ai fait seulement un an ensuite ils ont porté leur repas;pas besoin d'écrire tes mémoires, tu n'auras qu'a rassembler tes commentaires. c'est vrai qu'avec ta maman on vous a habillé longtemps elle était plus callée que moi en couture et j'avais souvent recours à ses services. pour le tricot j'étais douée. il n'y a qu'a voir les robes et barboteuses a la mode à cette époque. riezmaintenant/si ton blog n'existait pas il faudrait l'inventer
Je découvre ce jour ces commentaires Nicole et tous ces souvenirs de ton enfance ; c'est captivant ; on en oublie le présent tant tu nous transportes loin... avec des détails qui prennent une importance incroyable! Maman, oui tu nous a habillés très longtemps et j'étais ravie de pouvoir choisir les tissus, les motifs, les formes des vêtements qui étaient donc uniques! C'est bien fini tout cela, la mode veut plutôt que l'on se ressemble... En tout cas le short de Philippe me fait bien rire!! et Isabelle n'a pas pu s'empêcher de montrer sa culotte!! Coquine petite soeur! tu es adorable avec ta poupée dans les bras... Bonne journée à tout le monde et bisous...
Merci à toutes les 2 de prendre le relais de mes commentaires. Rémy suit le blog aussi avec qui nous jouons aux cartes. Hier soir, il me disait qu'il était bien content de ne pas avoir été petit à notre époque à cause de la mode! N'hésite pas à nous faire beaucoup de commentaires Tata. Je n'ai pas profité de Papa quand il était lucide et toute une mémoire est partie à jamais. Je ne me souvenais pas quel était mon âge à ton mariage, Tata. Je reconnais dans le comportement que tu décris des timidités de Céline qui va avoir 3 ans en mars. Axelle était à cet âge déjà très bavarde, se présentait à tout le monde et continuais la conversation. A la maison les bavardages commençaient dès le matin, dur dur pour son papa Olivier qui a du mal à émerger le matin, qui avant de connaitre Peggy pouvait passer une partie de la journée à dormir. Ce blog est un bonheur qui nous réunit dans le bonheur d'échanger tout simplement. Eliane, tu retrouves aussi les émotions devant ta maman qui préparait les vêtements et t'y associé. Il y avait à la vielle maison un cahier qui rassemblait tous les échantillons de points de couture et de broderie que Maman avait fait quand elle étudiait la couture. Dans les lettres que Marion a remis à Paul, on lit que Maman est comme lui à Clermont Ferrand. Période plutot fin de la guerre.
Et oui les vêtements de l'époque c'est un style bien spécial. Je me rappelle que l'année ou je me suis arrêtée pour la naissance de Céline je me suis mise au tricot. J'ai commencé à la maternité et j'ai fini une petite salopette-short en laine taille 6 mois... quand elle avait 9 mois!!! Comme elle était toute mince ça lui allait encore mais je n'ai jamais osé le lui mettre car faut dire que un short, maintenant c'est qu'en été, et la laine, maintenant c'est qu'en hiver !!! Ca se portait à quelle saison au juste ??? Pour conclure sur la couture et le tricot, c'est pas vraiment passé de mode, c'est plutôt un luxe de savoir faire, comme le dit Eliane, "des vêtements qui étaient donc uniques!"; Peggy a une amie dont la maman est couturière et qui se fait un nouvel habit (pantalon, bustier...) dès qu'elle a une nouvelle soirée. Et croyez-moi ça n'a rien de ringard ! Pour Axelle, depuis qu'elle est toute petite je l'appelle "ma petite journaliste" car à 3 mois déjà, quand on parlait elle tendait une sorte de micro devant la bouche et ensuite parlait dedans. Et aujourd'hui elle adore parler, être prise en photo et filmée.
Côté couture, la soeur d'un collègue ma première année de travail se faisait une robe pour chaque samedi. Claudette a fait quelques épisodes pas tristes. Pour un mariage, elle n'avait pas eu le temps de finir. Il y avait donc ces agraphes et du tissu collé. Elle n'avait pas assez de tissu, donc il ne fallait pas qu'elle quitte le bustier parce que le haut était accroché au soutien gorge. Elle nous a montré tous les détails à un rendez vous de la Pentecote du Plein Air. Une fois, elle avait acheté 10 m de dentelle noire parce que le prix était intéressant. Il y en a eu dans plusieurs déguisements de suite. Pour Axelle, je confirme, elle pose pas mal, c'est à dire qu'elle se tord un peu
Merci ma Tata de ces belles photos de mon enfance je trouve Maman très belle a ma naissance, elle a 25 ans. J'écris du train sur le i phone j'espere pouvoir envoyer. Jose m'attend a bordeaux. Je reprends cette après midi
RépondreSupprimerPour moi l’enfer, ce sont les mamans quand elles sont compliquées et abiment par des mots la santé morale de leur fille ou de leur fils et j’en connais dans les personnes qui me sont proches. Un vœu, ce serait une plus grande égalité d’argent pour que la vie matérielle du quotidien permette à chacun de manger normalement et d’avoir un appartement. L'ai je déjà dit? Mes parentes étaient à ma naissance locataire d'une sage femme qui était au 1e étage et avaient pour voisins les Mantin, comme eux au 2e étage. La maison était en face de l'école d'Aulnat. Nous avons habité là jusqu'à mes 4 ans, Alain est né dans les mêmes conditions. Donc chose qui revient à la mode, Maman a accouché à la maison. Moi je ne le conseillerais pas. Mon accouchement s'était bien passé, Marion allait bien mais comme elle était de petit poids, on l'a transporté dans un hopital spécialisé. Il vaut mieux être près des installations en cas de pépin. Du côté de Maman, je suis la première des cousins cousines comme vous le voyez sur les photos suivantes.
RépondreSupprimer3e photo vous les connaissez tous, Eliane est derrière moi, Isabelle devant, Philippe derrière, François devant, mes cousins cousines du côté de Maman. Ils habitent encore à la vieille maison où est prise la photo. C’est la maison des Noëls de mon enfance. J’ai des souvenirs très lointains où les « ouvriers » de mon oncle René maçon prenaient le repas sur la terrasse ou est ce une illusion ? Très petite aussi, j’ai vue la mère de Alexandrine couchée dans son lit à l’étage déjà malade ? dans la partie de la maison habitée par les Thiers. Elle est de 1962. C’est en 1964 que nous sommes partis à Orange. Maman était enceinte de Thierry.
La 4e photo est prise au « Camp Nord » qui touche à l’aéroport d’Aulnat. Nous habitions une petite maison blanche avec les Daubignat qui avaient une immense jeune fille belle de 14 ans que je badais et à droite c’est je crois un hangar où on pouvait garer des hélicoptères. Nous avons vécu au camp nord de mes 4 ans à mes 10 ans. Nous habitions encore là au moment de la naissance de Christian. C’était un terrain de jeu immense avec une dizaine de maisons préfabriquées comme la notre et des espaces plantés en fleurs. C’était très mal isolé. Un peu plus loin encore, mes parents faisaient un immense jardin, ils avaient des pigeons, peut être des poules et des lapins. Nous voyons Alain, Eliane et Philippe. Nos parents étaient très proches de Carmen et René et les enfants entrent de suite dans ces proximités. Cette photo est de 1958. En 1959 mon père est parti 6 mois en Algérie comme gendarme de l’Air à Maison Blanche près de Alger. C’est avant ou après que j’ai eu l’encéphalite dont Carmen parlait la 1e fois. Remarquez nos vestes à Alain et moi, du fait maison, la jupe d’Eliane est tricotée aussi.
RépondreSupprimerSur la 5e photo, on voit bien le jardin de la vieille maison. La dernière photo est prise à la Charmaisonne, je ne repère pas l’angle. C’est le lieu où Popo a vécu avec Philippe et Chantal ses parents, et son frère Pierre a aussi fait construire sur ce même immense terrain. On est un peu plus tard là en années.
Vertaizon, c'est aussi le lieu où la famille est réunie nombreuse et bavarde. J'aime écouter parler, rire. Quelquefois, je me secoue, il faut que je parle moi aussi au lieu d'écouter. A la Charmaisonne de Vertaizon dans mon enfance, il y avait une vigne dans toute la partie haute du terrain et à droite quand on arrive, là où René a planté des fruitiers. On emmenait la vendange à la Cave coopérative de Chateaugay près de Clermont Ferrand qui doit toujours produire un vin qui se commercialise. René entretenait la vigne en plus de son travail de maçon, ma grand-mère faisait les jardins, Carmen cueillait et mettait en conserves. Je crois que c’est Carmen qui faisait le jardin près de cimetière. Elle a toujours beaucoup aimé les fleurs. Chaque jardin était un peu distant de la maison, un était vers Heyrand, vers l’étang, du côté de chez mon grand oncle Marius. On voit sa maison de la vieille maison qui culmine. Chaque lieu d'enfance a sa respiration. A Alleret dans le Cantal, petit village où Alain a passé plus de vacances que moi l'été, mes oncles célibataires, Antoine qui avait du prestige parce qu'il était maire et qu’il résolvait les problèmes de l’eau, Alphonse qui en principe était toujours soult et vivait presque dans un coin chambre attenant à sa petite menuiserie avec 2 ou 3 machines et plein de tas de sciures de bois qui avaient une odeur. Est ce lui qui a donné à Roger le goût de la menuiserie. En tout cas quand ma cousine Odile et Roger sont venus s'installer dans la maison natale de Papa, Odile pour la petite ferme, Roger pour monter sa menuiserie parce qu'il ne pouvait pas être gendarme, mes 2 oncles ont connu avec eux une belle et longue vieillesse. A Alleret dès que l’on monte dans les chemins où on emmène les vaches au pré avec le chien et un bâton de noisetier, on culmine pleins de paysages. Fontaride, c’est à 20 km mais dans la Haute Loire. Entre, petites routes en zigzag qui montent et descendent très bas. Sur la route, paysages d’éoliennes depuis quelques années vers Ally au point qu’il y avait pleins de voitures qui venaient les voir. A Fontaride, c’est la maison de Julienne, sœur de mon père et maman de Odile et Jean Claude. Alors là c’est tout petit, leur ferme qui est avait une grande superficie, une 2e ferme mais qui a brûlé quand autour de mes 11 ans et un château avec le Comte et sa famille. Toutes les petites filles sont fascinées à cause des contes de princesse. Axelle est déjà bien prise. La ferme de Fontaride fait face à un paysage magnifique. On peut dévaler le pré très en pente, sauf qu’il faut faire attention aux bouses de vaches. Après c’est très fatiguant pour remonter. Au fond très en bas coule l’Allier encore cours d’eau. Et devant la maison, il y avait des troncs de bois en pile. J’aimais m’installer en haut et lire ou chanter pour moi toute seule. Odile a 1 an de plus que moi. On dormait dans le même grand lit. On allait garder les vaches toute la journée. Là il y avait au moins 2 chiens. Mais ni à Alleret ni à Fontaride ils n’avaient de bons chiens. Un bon chien, tu le dresses et il rassemble le troupeau. Nous il fallait courir autour du troupeau pour faire avancer et à Fontaride, c’est aussi tout en pente. Dans un pré, il y avait des genêts. C’est tout fleuri jaune en juin. Le genêt pousse sur la terre aride. En Auvergne, dans ma famille, on ne retournait beaucoup les prés sauf pour planter du trêfle que l’on donnait séché aux vaches.
RépondreSupprimerquelle mémoire Nicole; tu avais 3ans à mon mariage( je me souviens que l'on voulait te faire porter mon voile et tu as pleuré en te cachant)mais tu as raison, on faisait manger les ouvriers sur la terrasse l'été; je l'ai fait seulement un an ensuite ils ont porté leur repas;pas besoin d'écrire tes mémoires, tu n'auras qu'a rassembler tes commentaires. c'est vrai qu'avec ta maman on vous a habillé longtemps elle était plus callée que moi en couture et j'avais souvent recours à ses services. pour le tricot j'étais douée. il n'y a qu'a voir les robes et barboteuses a la mode à cette époque. riezmaintenant/si ton blog n'existait pas il faudrait l'inventer
RépondreSupprimerJe découvre ce jour ces commentaires Nicole et tous ces souvenirs de ton enfance ; c'est captivant ; on en oublie le présent tant tu nous transportes loin... avec des détails qui prennent une importance incroyable!
RépondreSupprimerMaman, oui tu nous a habillés très longtemps et j'étais ravie de pouvoir choisir les tissus, les motifs, les formes des vêtements qui étaient donc uniques! C'est bien fini tout cela, la mode veut plutôt que l'on se ressemble...
En tout cas le short de Philippe me fait bien rire!! et Isabelle n'a pas pu s'empêcher de montrer sa culotte!! Coquine petite soeur! tu es adorable avec ta poupée dans les bras...
Bonne journée à tout le monde et bisous...
Merci à toutes les 2 de prendre le relais de mes commentaires. Rémy suit le blog aussi avec qui nous jouons aux cartes. Hier soir, il me disait qu'il était bien content de ne pas avoir été petit à notre époque à cause de la mode! N'hésite pas à nous faire beaucoup de commentaires Tata. Je n'ai pas profité de Papa quand il était lucide et toute une mémoire est partie à jamais. Je ne me souvenais pas quel était mon âge à ton mariage, Tata. Je reconnais dans le comportement que tu décris des timidités de Céline qui va avoir 3 ans en mars. Axelle était à cet âge déjà très bavarde, se présentait à tout le monde et continuais la conversation. A la maison les bavardages commençaient dès le matin, dur dur pour son papa Olivier qui a du mal à émerger le matin, qui avant de connaitre Peggy pouvait passer une partie de la journée à dormir. Ce blog est un bonheur qui nous réunit dans le bonheur d'échanger tout simplement. Eliane, tu retrouves aussi les émotions devant ta maman qui préparait les vêtements et t'y associé. Il y avait à la vielle maison un cahier qui rassemblait tous les échantillons de points de couture et de broderie que Maman avait fait quand elle étudiait la couture. Dans les lettres que Marion a remis à Paul, on lit que Maman est comme lui à Clermont Ferrand. Période plutot fin de la guerre.
RépondreSupprimerEt oui les vêtements de l'époque c'est un style bien spécial. Je me rappelle que l'année ou je me suis arrêtée pour la naissance de Céline je me suis mise au tricot. J'ai commencé à la maternité et j'ai fini une petite salopette-short en laine taille 6 mois... quand elle avait 9 mois!!! Comme elle était toute mince ça lui allait encore mais je n'ai jamais osé le lui mettre car faut dire que un short, maintenant c'est qu'en été, et la laine, maintenant c'est qu'en hiver !!! Ca se portait à quelle saison au juste ??? Pour conclure sur la couture et le tricot, c'est pas vraiment passé de mode, c'est plutôt un luxe de savoir faire, comme le dit Eliane, "des vêtements qui étaient donc uniques!"; Peggy a une amie dont la maman est couturière et qui se fait un nouvel habit (pantalon, bustier...) dès qu'elle a une nouvelle soirée. Et croyez-moi ça n'a rien de ringard ! Pour Axelle, depuis qu'elle est toute petite je l'appelle "ma petite journaliste" car à 3 mois déjà, quand on parlait elle tendait une sorte de micro devant la bouche et ensuite parlait dedans. Et aujourd'hui elle adore parler, être prise en photo et filmée.
RépondreSupprimerEt je trouve que Alain a une touche du tonnerre sur la quatrième photo !!!
RépondreSupprimerDu fait maison, ma Marion, culotte courte à la belle saison, ici avec des chaussettes
RépondreSupprimerCôté couture, la soeur d'un collègue ma première année de travail se faisait une robe pour chaque samedi. Claudette a fait quelques épisodes pas tristes. Pour un mariage, elle n'avait pas eu le temps de finir. Il y avait donc ces agraphes et du tissu collé. Elle n'avait pas assez de tissu, donc il ne fallait pas qu'elle quitte le bustier parce que le haut était accroché au soutien gorge. Elle nous a montré tous les détails à un rendez vous de la Pentecote du Plein Air. Une fois, elle avait acheté 10 m de dentelle noire parce que le prix était intéressant. Il y en a eu dans plusieurs déguisements de suite. Pour Axelle, je confirme, elle pose pas mal, c'est à dire qu'elle se tord un peu
RépondreSupprimer